« Même quand je suis déçue, même quand les mots ne me viennent plus, même quand ma vie ne m'inspire plus, même si j'ai tort, même si j'ai froid, même si j'en dors si mal parfois, même si je tombe encore plus bas, j'y crois encore parce que tu es là. »
Hope
Let's smile
Mercredi 11 novembre 2009 à 20:57
« Même quand je suis déçue, même quand les mots ne me viennent plus, même quand ma vie ne m'inspire plus, même si j'ai tort, même si j'ai froid, même si j'en dors si mal parfois, même si je tombe encore plus bas, j'y crois encore parce que tu es là. »
Samedi 7 novembre 2009 à 21:56
Don't worry, about a thing, because every little thing gonna be all right...
Ferme les yeux. Encore plus fort.
L'oublier lui. Et puis lui aussi.
Ne pas s'attacher a lui, et a lui non plus.
Mardi 27 octobre 2009 à 15:25
Flash Back.
"N'empêche, je conserverai ce regret : ne pas savoir précisément l'homme que tu es devenu.
Alors tu demeureras, malgré toi, malgré moi, cet amoureux sans beaucoup de défauts. Certains jours, je m'en réjouis. Et d'autres, non. D'autres jours, en effet, ce constat me dévaste. Pourquoi ?Mais parce que, à certains égards, je le confesse, cela m'aurait arrangée que tu sois un peu détestable. Par exemple, tu aurais pu commettre un impair irréparable. J'aurais pu te surprendre avec une autre femme, être le témoin d'une trahison impardonnable. Tu aurais pu te montrer indélicat, obscène, avoir des paroles malheureuses, des gestes violents, ce ne sont pas les occasions qui manquent à un homme de se comporter en mufle. Mais non. A ta manière, tu auras toujours été irréprochable. Nulle turpitude irrémissible, pas le moindre écart visible, pas de véritable maladresse, qui auraient entraîné ta condamnation, ton excommunication. Bien sûr, il t'est arrivé, et plus d'une fois, de m'agacer, de me rendre folle. Il y a eu entre nous des mots, des discussions hâtivement conclues, des bouderies, mais nous trouvions le moyen de nous réconcilier, l'un ou l'autre cédait, moi plus régulièrement que toi, cela va sans dire, et nous renouions dans les draps les liens momentanément distendus. Oui, il aurait été plus simple que tu sois un sale type, que tu t'exposes aux reproches, tu ne m'as pas laissé la chance de te blâmer. Je t'aurais oublié plus vite si je t'en avais voulu.Ça ne s'est pas passé comme ça."
Lundi 26 octobre 2009 à 18:46
" Comment tu peux manger une pomme aussi acide ? "
" T'oublie que j'ai été élevèe a ca "
" Ah oui c'est vrai, ca explique peut etre ton caractére... Acide..."
" Surement oui ..."
" Alors, t'as un copain ? "
" Eh non, toujours pas depuis la dernière fois "
" Mais... Mais ...Comment ca se fait ? T'en veut pas c'est ca ? "
" Si si ...
C'est marrant on se voit pas souvent et pourtant dès que tu me vois a chaque fois la première chose que tu me demande c'est ca "
* se tourne vers ma mère, le regard inquiet *
" Comment sa se fait ? "
" Sa doit etre lié a son caractère "
" Ah... Elle a mauvais caractère ? Ah c'est sur que la beauté intérieure ca compte aussi ... "
" Et ouais, et avec le caractère qu'elle a c'est pas gagné ! "
" Bon, la prochaine fois que je viens je veux que t'en ai trouvé un "
" Ouais ... "
Les joies de la famille ...!
Mercredi 21 octobre 2009 à 20:15
Et je le regardais, d'un regard extérieur, je regardais notre "meilleur amitié" basée sur pas grand chose , et j'ai pas pu m'empécher d'avoir envie de rire de nous, de moi.
Je me suis demandé comment avait on pu crèer une association aussi improbable ?
Comment un type aussi populaire et avenant que lui pouvait avoir une meilleure amie telle que moi ?
J'avais l'impression d'être face a un étranger, il savait tant de choses sur moi, et pourtant il ne savait rien.
Jamais il n'avait été la lors de mes plus gros fou-rire, jamais il n'avait partagé ne serai-ce qu'un baisse de moral, jamais il n'avait été a mes cotes au quotidien. Jamais.
Et je me rendais compte que de la meme facon qu'il ne connaissait rien de moi, j'ignorais tout de lui.
Et sans le vouloir je me heurtais a la réalité que j'avais toujours voulu contourner : notre amitié n'était pas réelle.
Un ordinateur, un portable était capable de dire je t'aime, mais deux humains n'étaient pas capable de se serrer dans leur bras.
" On va trouver une solution ! <3 "
Il est temps de faire des crépes et de les coller au plafond, je crois.